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Puzzles
- - L'activité parfaite pour se recentrer sur soi ou occuper toute la famille les dimanches de pluie, à offrir sans hésiter.
- - Plusieurs formats au choix : 30 pièces, 110 pièces, 252 pièces, 500 pièces et 1000 pièces.
- - Pièces en carton de qualité supérieure imprimé par sublimation pour des couleurs vives.
- - Livré dans une boîte en métal illustrée du design que vous avez sélectionné. Ça c'est du cadeau qui en jette !
- - Âge : 30 pièces à partir de 4 ans, 110 pièces à partir de 6 ans, 252 pièces à partir de 8 ans, 500 pièces à partir de 9 ans, 1 000 pièces pour les adultes.
- - AVERTISSEMENT : risque d'étouffement. Contient des petites pièces. Tenir hors de portée des enfants de moins de 3 ans.
- - Imprimé à la demande, rien que pour vous.
À partir de
30,51 €
Oeuvre originale
Visage n°163 - 2001
VIS1820/8222022
Cette collection est composée de dessins, représentant des visages, réalisés sur près de vingt ans, de 1987 à 2010.
Texte de Jean-Paul Perrenx : « Je peins avec beaucoup d’exactitude dans ma tête, des visages qui passent, des visages qui défilent lentement devant moi, des visages qui me regardent juste un peu pour faire semblant, des visages qui s’en vont je ne sais trop où. Je peins méthodiquement, un peu comme le Petit Poucet qui a peur de se perdre dans sa forêt et qui dépose sur le sol des cailloux blancs ou des miettes de pain, je ne me souviens plus très bien de cette histoire car je devais avoir 5 ou 6 ans en ce temps-là. En tous les cas, je peins des dizaines et des centaines de visages sur mon chemin, voilà c’est mon histoire ! Et peu importe pour le chemin ! Je peins des visages de femmes, que je dévisage jusqu’au dernier. Je peins deci-delà des étoiles, des planètes, des oiseaux, des avions, des comètes et un croissant de lune aussi, c’est voulu, oui c’est une longue histoire que raconte ma main qui peint tout ça, et tout tourne dans l’espace du ciel, d’un ciel. Je peins des visages qui parlent par leurs couleurs de toutes les couleurs mais qui restent muets dans leurs regards lointains. Je ne me souviens plus si je l’ai déjà dit mesdames messieurs : Je peins des visages qui passent. »