Affichage d'un produit : Housse de couette (264X224 CM)
- Accueil
- Affichage d'un produit
Housse de couette (264X224 CM)
- - Dessus entièrement imprimé en couleurs vives et dessous blanc.
- - Dessus 100 % polyester et dessous 50% coton/50 % polyester.
- - La fermeture éclair est dissimulée et les cordons à l'intérieur de la housse permettent de maintenir votre couette en place (pour les couettes telles que celles fabriquées aux États-Unis).
- - Disponible pour les lits de format 1 place à king size (tailles US). Veuillez consulter le guide des tailles présent sur le site de notre partenaire distributeur pour en savoir plus sur les dimensions de ce produit.
- - Couette non fournie.
- - Lavable en machine.
- - Plusieurs tailles disponibles
À partir de
143,50 €
Oeuvre originale
Visage n°052 - 1992
VIS1758/8212022
Cette collection est composée de dessins, représentant des visages, réalisés sur près de vingt ans, de 1987 à 2010.
Texte de Jean-Paul Perrenx : « Je peins avec beaucoup d’exactitude dans ma tête, des visages qui passent, des visages qui défilent lentement devant moi, des visages qui me regardent juste un peu pour faire semblant, des visages qui s’en vont je ne sais trop où. Je peins méthodiquement, un peu comme le Petit Poucet qui a peur de se perdre dans sa forêt et qui dépose sur le sol des cailloux blancs ou des miettes de pain, je ne me souviens plus très bien de cette histoire car je devais avoir 5 ou 6 ans en ce temps-là. En tous les cas, je peins des dizaines et des centaines de visages sur mon chemin, voilà c’est mon histoire ! Et peu importe pour le chemin ! Je peins des visages de femmes, que je dévisage jusqu’au dernier. Je peins deci-delà des étoiles, des planètes, des oiseaux, des avions, des comètes et un croissant de lune aussi, c’est voulu, oui c’est une longue histoire que raconte ma main qui peint tout ça, et tout tourne dans l’espace du ciel, d’un ciel. Je peins des visages qui parlent par leurs couleurs de toutes les couleurs mais qui restent muets dans leurs regards lointains. Je ne me souviens plus si je l’ai déjà dit mesdames messieurs : Je peins des visages qui passent. »